Fantasme d'un monde idéal.

Publié le par Papalmier

Dans cet article, je souhaite utiliser un vocabulaire pas trop dégradant. Le mot ambigue "homme" sera ici toujours utilisé dans son sens "humain de genre mâle".

Pour moi, un monde idéal serait un monde ou les femmes seraient heureuses, et ou les hommes n'auraient pas le droit de vivre du tout.
Pour moi, l'hétérosexualité a toujours posé un gros probleme. Je n'ai jamais été favorable aux relations sexuelles entre hommes et femmes. Je concède évidement que la nature permet un emboitement idéal de certaines formes, mais depuis toujours je nie ce détail, alors que pour tout le reste j'observe en premier lieu ce que la nature a prévu, et tente de m'en servire du mieux possible. Ceci dit, cet article est dédié à mon fantasme, et je ferai ici fi de certaines considérations biologiques élémentaires et évidentes.

Je constate que le plus grand probleme des femmes sont les hommes, et que le plus grand probleme des hommes est les femmes. Mais du a mon parti pris pour les femmes, et indépendement de celui ci, à mers apioris négatifs sur les hommes, je veux tenter de rendre les femmes heureuses, et écarter d'elles le maximum possible de problemes.

Je fantasme donc d'un monde ou vivraient seule les femmes.

Oh, certes, on écrivain décrivait "un monde peuplé exclisivement d'hommes; ils seraient nombreux au début, puis il y en aurait de moins en moins ... puis ... plus du tout".

Les femmes ont un avantage majeur: elles possèdent en elles même les parties les plus importantes pour la reproduction de leur espèce. Sans aller jusqu'à la manipulation génétique, la fécondation in-vitro n'est pas très compliquée. Par ailleurs, un tout petit stoque congelé de spematozoides permet de féconder un nombre immense de femmes. De quoi leur apporter le bonheur de porter la vie, et d'engendrer pendant des centaines d'années.

Un des inconvéniants majeurs que n'ont pas résolu les amazones est ce besoin d'apport de spermatozoides.

Dans ce monde idéal, une amie me disait que je serais probablement l'humain le plus heureux, car j'aime les femmes, et ainsi entouré de femems, je serais probablement au comble de mon bonheur. Elle avait oublié que je ne veux pas être une exception à mes règles: une fois le monde bati, j'en sortirais, et alors seules les femmes pourraient y acceder. Toutes les femmes du dehors devrtaient alors s'y rendre, et tous les autres hommes seraient anéantis, moi y compris: je ne souhaite pas construire ce monde dans le but d'y connaitre mon propre bonheur.

Mon fantasme ne statut pas sur le devenire des potentiels bébés masculins ... l'idéal pour contourner cette question serait de séléctionner le genre du foeutus avant la fécondation, et éviter toute fécondation pouvant amener à un foetus mâle. Il est évident que l'enfanticide est insuportable pour une mère.

Parmis les grands avantages d'un monde de femmes, il faut citer leur facilités à s'autogérer, et s'auto organiser. Certes toutes les femmes ne sont pas douces et patientes, mais sur le pannel de femmes existant, il sera facile d'en trouver certaines capable d'assumer les charges nobles (souvent lourdes de responsabilités), et d'autres pour les taches ingrates. Car il existe des femmes qui aiment la simplicité, les taches répétitives, et d'autres qui préfèrent la sécurité et la douceur de vivre (sans vouloire opposer de manière stricte ces modes de vie car oui il existe milles intermédiaires et alternatives).

Quand à la sexualité pure ... la question ne se pose pas dans ma tête: je suis personnellement favorable à l'homosexualité entre femmes, car pour moi, seule une femme peut comprendre les besoins d'une femme; et toutes les femmes savent que peu d'hommes savent satisfaire les femmes malgrès la conception apropriée de leurs donts naturels respectifs. Pour moi donc, une femme sera plus facillement satisfaire dans une relation avec une autre femme qu'avec un homme. Quand à la sexualité des hommes, je la nie complètement. Je préfère que les hommes évitent les pratiques homosexuelles, et tolère les diverses masturbation si elles ne sont pas motivées par des pressions sociales extérieures (c'est trop souvent le cas).

Si une femme particulière ressent un besoin particulier de pénétration, je sais que lka confection d'objets de substitut a plus de 2000 ans; une bonne transmission du savoire devrait donc offrire un remède efficace à tous ces besoins légitimes et naturels.

Voilà pour un de mes fantasmes.

S'agissant d'un fantasme, et pas d'une théorie, je ne justifirai pas de son bienfondé, ni de sa pérénité à long terme sur plus de 1000 ans (mille années). Je n'aborde pas non plus les effets de bords (naissance de la première population féminine, création et construction du monde, première peuplade, interractions avec d'éventuels autres mondes ...). Je résouds les effets de bord pour mes théories, pas pour les fantasmes. Quand à la moralité ... je n'en ai tenu nul compte pour aucun autre article de ce blog. Je pense simplement qu'à partire d'un point donné il est possible de faire vivre ensemble des femmes de manière harmonieuse, le but étant de tenter qu'elles vivent plus épanouies et plus heureuses que dans le monde actuel.

Il est par ailleurs souhaitable qu'un tel monde ne soit jamais sérieusement envisagé ni construit, pas même pour un test d'aucune sorte, et cette précision est importante pour moi car je ne considère pas les femmes comme des objets d'expérimentations; elles ont trop de valeur, et sont trop belles pour faire office de cobaye. Je les laisse libre de s'unire virtuellement à mon fantasme, et le cas échéant d'entreprendre elles mêmes la voie que je propose.

PS: le dernier paragraphe serait pas un peu contradictoire avec lui même ? bah, c'est un fantasme; moi j'expose une solution, je dis pas que je résouds tous les problèmes :)

Publié dans fantasmes

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M
Rire... <br /> et puis qu'est ce que c'est que ce fantasme dans lequel l'auteur ne trouve aucun avantage?? on peut donc se dénigrer jusque dans ses fantasmes.. allons! il faut se ressaisir: si même dans son imaginaire le plus fou ton esprit ne s'octroit pas une place de choix, c'est qu'il est (grand) temps de s'arrêter une seconde et de se dire qu'on mérite autant qu'un(E) autre... et finalement de s'en convaincre. Confiance en soi, quand tu nous fais défaut...
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J
Salut Joseph <br /> Un petit détail, j'ai déja entendu des lesbiennes dire que durant leurs règles communes (comme elles habitent ensemble elles sont synchonisées) c'est varaiment l'enfer que, seulement à ce moment précis elles reconnaissent apprécier la compagnie des hommes. Bah si on peut servir seulement une semaine et se reposer le reste du mois, j'achète.
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