Ca fait un bien fou d'en parler.
Après multiples débats sur la papotte, je conclue que décidément, ca fait un bien fou de parler, de soi, de ses problèmes, ou diverses autrs choses
Parmis les arguments contre, je cite:
- ca donne un air égocentrique
- ca force à verbaliser, à prendre position, et ancre la mémoire sur des faits que l'on voudrais oublier, ou des désirs qu'il serait préférable de ne pas accomplire.
Entre autre, je me suiviens que certaines discussions sur le suicide en aout 2005 chez une amie m'ont marquées à vie. D'abord, parce que j'ai argumenté sur ses avantages, ce qui donc polarise la volonté, et en augmente le désir. Ensuite, parce qu'il est humiliant de changer d'avis, donc, annoncer à cette même personne que "finalement j'avais peut etre tord" relève du plus grand défi d'humilité, et que ... changer d'avis tout court, en soit même ... c'est tendu quand on a donné milles et un arguments (auto-persuasion).
Parmis les choses avantageuses:
- si l'interlocuteur est suffisement interactif, ca permet d'orienter les débats dans des directions autres que celles propres à soit, et donc, d'arriver à des conclusions, ou des thématiques que je n'aurais peut être pas eu en réfléchissant seul
- ca permet d'entendre des arguments, ou thèmes que je n'aurais jamais imaginés
- ca aide à verbaliser, donc prendre conscience de choses que l'ont fait par automatisme, ou inconsciement
Ce dernier point aide donc à prendre conscience de ses problèmes "habituels" (qu'on ne voit plus tellement on es habitué à faire avec, première étape avant de travailler sur un "problème"), ou prendre conscience de qualités que l'on a oublié (revalorisation de soit).
Entre désavantages et avantages, je pense que ca vaut le coup de prendre le risque. Reste à apprendre à reconnaitre les pairs qui seront capables de passer outre les premiers, et de se focaliser sur les derniers.
Merci à tous ceux qui ont eu la patience de m'écouter, ou de me lire ces dernières années (la liste est TRèS LONGUE).
Parmis les arguments contre, je cite:
- ca donne un air égocentrique
- ca force à verbaliser, à prendre position, et ancre la mémoire sur des faits que l'on voudrais oublier, ou des désirs qu'il serait préférable de ne pas accomplire.
Entre autre, je me suiviens que certaines discussions sur le suicide en aout 2005 chez une amie m'ont marquées à vie. D'abord, parce que j'ai argumenté sur ses avantages, ce qui donc polarise la volonté, et en augmente le désir. Ensuite, parce qu'il est humiliant de changer d'avis, donc, annoncer à cette même personne que "finalement j'avais peut etre tord" relève du plus grand défi d'humilité, et que ... changer d'avis tout court, en soit même ... c'est tendu quand on a donné milles et un arguments (auto-persuasion).
Parmis les choses avantageuses:
- si l'interlocuteur est suffisement interactif, ca permet d'orienter les débats dans des directions autres que celles propres à soit, et donc, d'arriver à des conclusions, ou des thématiques que je n'aurais peut être pas eu en réfléchissant seul
- ca permet d'entendre des arguments, ou thèmes que je n'aurais jamais imaginés
- ca aide à verbaliser, donc prendre conscience de choses que l'ont fait par automatisme, ou inconsciement
Ce dernier point aide donc à prendre conscience de ses problèmes "habituels" (qu'on ne voit plus tellement on es habitué à faire avec, première étape avant de travailler sur un "problème"), ou prendre conscience de qualités que l'on a oublié (revalorisation de soit).
Entre désavantages et avantages, je pense que ca vaut le coup de prendre le risque. Reste à apprendre à reconnaitre les pairs qui seront capables de passer outre les premiers, et de se focaliser sur les derniers.
Merci à tous ceux qui ont eu la patience de m'écouter, ou de me lire ces dernières années (la liste est TRèS LONGUE).